Tale of Osaka love thieves...
A document about one of the Osaka's most famous host club: a bar where young lonely ladies come to enjoy there night with kind good looking boys...
J'ai regardé ce reportage aujourd'hui sur les fameux host club d'Osaka: ces bars chics où les demoiselles esseulées trouvent du réconfort en la compagnie de beaux jeunes hommes. Le film nous montre un aspect à la fois très innocent et très cru du monde nocturne dans le quartier de Minavi. Un monde no limit où argent, alcool et "amour" coulent à flot. Des images et des interviews qui nous plongent dans ce milieu undergrownd qui fascine et dérange: décadence innocente, générosité hypocryte, cupabilité parfois, solitude surtout...
Here in vosta:
Si ça t'intéresse voilà la première partie en vostfr il me semble: http://www.dailymotion.com/video/xbxw5w_the-great-happiness-space-tales-of_webcam
ReplyDeleteJ'ai vraiment trouvé ce film intéressant, ça change de ce qu'on peut voir dans les animes/ dramas et même si on se doute que dans la réalité ces clubs se rapprochent pas mal de la prostitution, j'ai quand même été frappée par "l'ambiance" dans ce club.
Bref, bonne continuation!
Pour moi l'anglais ne pose pas de problème mais merci pour les autres!
ReplyDeleteOui, le film est très interressant.De voir ces jeunes qui , enfermés dans un quotidien aussi glauque, détruisent peu à peu leur santé, leur confiance en autruit et leur amour propre ça m'a noué l'estomac... ce qui ne m'empechera pas d'aller faire un tour dans un de ces host club si j'en ai un jour l'occasion! Histoire de voir de mes propres yeux... et parceque je trouve malgré tout le concept de base plutot sympas!
Le reportage met vraiment en avant le coté pervers de ce monde de la nuit alors que d'après mes recherches, de nombreux étudiants ne font ce job de host que pour une courte durée pour financer leurs études. Donc sans forcement se laisser entrainer dans cet espèce de cercle vicieux ou l'argent appelle toujours plus d'argent et entraine toujours plus loin dans la décadence... Pour moi, le film est à prendre avec des pincette donc mais dénonce une réalité dont les jeunes japonais doivent prendre conscience.